Journalistes otages : chronique d’une absence
Un lundi soir dans un studio de la Maison de la Radio à Paris. C’est complet. Même les strapontins. On s’assoit sur les marches de l’amphithéâtre. Dehors, il fait froid et humide. À l’intérieur, la chaleur de tous ceux qui sont venus écouter parler des journalistes otages en Syrie. Et de la Syrie elle-même.
C’est bizarre une « soirée otages ». Même si on la baptise « retour de Syrie » pour indiquer qu’on est là aussi pour écouter des reporters amis, anciens otages ou pas, venus parler du conflit. Que fait-on ici….Lire la suite dans les « Carnets d’un grand reporter »
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