Athènes: le cauchemar de Nadia.
Nadia est une très belle femme. La peau claire de son père pendjabi, les yeux en amande de sa mère née au cachemire et une chevelure de jais nouée en un chignon sage. Et pour ne rien gâcher, intelligente, cultivée et élégante. Ailleurs, à Londres ou New York, on vanterait les qualités de cette fille d’immigrée de trente-cinq ans à peine qui se prépare à ouvrir un espace chaleureux, bar-restaurant-salle de concert. Une inauguration un peu incongrue, dans ce coeur d’Athènes constellé de vitrines en deuil et de panneaux « à vendre ».
D’autant que Nadia est grecque et, jusqu’à peu, fière de l’être. Soudain…Lire la suite dans les « Carnets d’un grand reporter ».
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