Dans Alep, la ville des snipers..
Avec lui, on ne suit pas la guerre, on est en guerre, dans la guerre.
Alep, où on pénètre dans les maisons par des trous creusés dans les murs. Des trous utiles pour faire passer les cadavres des combattants tués.
Alep, où des hommes aux visages de morts-vivants, dissimulés derrière des rideaux, clignent de l’œil sur le viseur de leur fusil à lunette, chassent l’aperçu d’un corps, cherchant l’ombre d’en face, homme, femme, enfant, chien errant, qu’ils vont abattre….Lire la suite dans les « Carnets d’un grand reporter ».
COPYRIGHT LE NOUVEL OBSERVATEUR - TOUS DROITS RESERVES