Hamdah, les vaches, la frontière et l’or noir
L’odeur vous prend la gorge dès l’entrée du village. Forte, écœurante caractéristique. Elle imprègne les murs, les hangars agricoles, les cours des fermes, les mototracteurs qui passent et colle à chaque ruelle de ce bled perdu sur la frontière syrienne, à 20 minutes de Rehali. Partout, alignés, entassés, sur deux, trois niveaux, des bidons en plastique bleus, même couleur, même forme, comme une unité de mesure de la prospérité du lieu. Même ici….Lire la suite dans les « Canrets d’un grand reporter ».
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