Jean-Paul Mari présente :
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Jean-Paul Mari

Jean-Paul Mari Journaliste, né en 1950 à Alger. Il quitte l’Algérie à onze ans. Etudes de psychologie, devient kinésithérapeute à l’hôpital Purpan à Toulouse, animateur de radio aux Antilles Britanniques, grand-reporter à Radio Monte Carlo, au « Matin de Paris » puis, de 1985 à 2014, au Nouvel-Observateur.

Il a publié plus de cinq cents reportages à l’étranger.

A écrit :

– « L’homme qui survécut.’’ Reportages. 1989. Ed. Jean-Claude Lattes

– « Le prix d’un enfant.’’ Document (avec Marie-France Botte). 1993 . Ed Robert Laffont

– « Il faut abattre la lune. » Récit, 2001. Ed Nil ( Réédité en mars 2003 sous le titre : « La Nuit Algérienne. » Ed NiL

– « Carnets de Bagdad », Récit, 2003, Ed Grasset – « Carnets, Israël Palestine » , Carnets de reportage (dessins de Yann le Bechec), 2004, Jalan Publications.

Un roman , « La tentation d’Antoine », Éd Robert Laffont, janvier 2013.

« Sans blessures apparentes », Enquête chez les damnés de la guerre, Octobre 2008, Ed Robert laffont, un ouvrage enquête sur les traumas et blessures psychiques.

–  « Les bateaux ivres », l’odyssée des migrants en Méditerranée, Éditions Lattès, 2015.

– « En dérivant avec Ulysse », Éditions J-C Lattes (Septembre 2018).

-« Les fantassins de la République », avec le Professeur Frédéric Adnet, Ed. Flammarion, octobre 2020.

– « Oublier la nuit », Essai, Editions Buchet-Chatel, septembre 2022

A réalisé :

– « Irak, quand les soldats meurent », reportage, 64 minutes, 2006, produit par la Compagnie des Phares et Balises et diffusé sur Arte.

-« Sans Blessures Apparentes », 63mn,  2010, film tiré de son livre du même nom.

– « Les migrants ne savent pas nager », 65mn, diffusé sur Public-Sénat et TV5 Monde, 2016.

-« La Bleuite, l’autre guerre d’Algérie », 52 mn, diffusé sur France5 (Mai 2018) et Public-Sénat.

 

Prix :

Prix Albert Londres (1987).

Prix des Organisations Humanitaires Agena (1989).

Prix Bayeux des Correspondants de guerre, (Ouest-France), 1997.

Prix Bayeux des correspondants de guerre (1998).

Prix Louis Hachette (2001).

Prix Méditerranée 2002 (pour le livre : « Il faut abattre la lune. »)

Grand Prix des Lectrices Elle 2009 et Prix 3ème Assises du journalisme (pour le livre « Sans blessures apparentes)

Grand Prix et Prix du Public au FIGRA, Festival International du Grand Reportage d’Actualité, 2010, (pour le film « Sans blessures apparentes »).

-Prix CICR (Comité International de la Croix-Rouge) au festival de télévision de Monte-Carlo en 2017 (pour le film « Les migrants ne savent pas nager ».

– Prix « Encre Marine » 2018 (pour le livre  » En dérivant avec Ulysse »)

– Prix Transfuge 2022 ( pour « Oublier la nuit »)

– Finaliste Prix Renaudot ( pour « Oublier la nuit »)

 

Il est le créateur et l’animateur du site « grands reporters.com »

 

Liberia . Reportage. Charles Taylor, dx ans de guerre civile.

par Jean-Paul Mari
Rebelle, voleur, sanguinaire, ce descendant d'esclave devenu chef d'Etat se voyait déjà en Kadhafi de l'Afrique. Charles Taylor est aujourd'hui jugé par un tribunal international pour crimes de guerre et crimes contre l'humanité. Voici comment l'homme fort du Liberia est devenu le plus grand criminel vivant du continent noir

Liban. Le juge Mehlis sur le chemin de Damas

par Jean-Paul Mari
Bachar al-Assad avait menacé Rafic Hariri : « Je casserai le Liban sur votre tête. » Sept mois plus tard, l'ancien Premier ministre était assassiné. Mais un mobile n'est pas une preuve. Le procureur allemand Detlev Mehlis réussira-t-il à démontrer la culpabilité du pouvoir syrien ? De Beyrouth, jean-paul mari raconte une enquête en terrain miné

Voir Film. « Massaker ». Sabra et Chatila: les tueurs parlent.

par Jean-Paul Mari
L'horreur racontée par les bourreaux. C'était il y a quarante ans. Jeudi 16 septembre 1982, à Beyrouth, des groupes de miliciens chrétiens attaquent la population des camps palestiniens. C'est le plus grand massacre de civils de la guerre du Liban....

Beyrouth : retour vers l’enfer

par Jean-Paul Mari
Hier, c'était les plages bondées, les palaces envahis par les touristes. Aujourd'hui, la ville est un désert sombre habité par la mort et la destruction. Choses vues dans une capitale déconcertée et terrifiée par la violence de la riposte israélienne aux agressions du Hezbollah

SDF: Les fantômes du froid.

par Jean-Paul Mari
A quoi peut bien servir notre seule compassion face à ces échoués de la vie qui dorment sur les bouches de métro ou les quais de la Seine  ? Jean-Paul Mari a passé une nuit glaciale dans ce monde sans pitié. Dessins de Yann Le Bechec

Shimon Navon, l’homme sans visage

par Jean-Paul Mari
«Deux bouteilles d’essence explosent sur le toit de toile de la Jeep, et le liquide enflammé coule dans l’habitacle: "Mes cheveux, mes vêtements, ma peau, tout était en flammes. J’allais mourir".» Dernier témoignage, dernier portrait de l’un de ces hommes – ou de ces femmes – dont le drame du Proche-Orient a bouleversé la vie.

Rafah : la guerre des tunnels.

par Jean-Paul Mari
Par Jean-Paul Mari Abdel Nasser touchait au but. Au-dessus de lui, il ne restait plus qu’une mince couche de terre et un peu d’herbe. Dans sa ceinture, le Palestinien serrait les trois mille dollars qui lui serviraient à rapporter des...

Les naufragés du Yafit-Café

par Jean-Paul Mari
Dans la vallée du Jourdain, à 300 mètres sous le niveau de la mer, sur la route90 où la température frôle parfois les 50degrés, il ne reste de l’ancienne station-service, fermée depuis le début de l’Intifada, qu’une simple cafétéria. Sa clientèle: les soldats de passage et les quelques pionniers qui s’accrochent. Comme Pierre, le Français, Mikaël, le Russe, Eran, Elad, Liron, Noah et les autres, qui continuent de dire «Il y a trop de rage, trop de haine des deux côtés» et encore «Ici, on repart à zéro, on invente notre vie»

Arin, la kamikaze qui n’a pas voulu mourir

par Jean-Paul Mari
Elle avait 20 ans et 10 kilos d’explosifs autour du corps. On lui avait dit que c’était un beau jour pour mourir et rejoindre son amoureux tué en combattant Israël. Au dernier moment, elle a décidé que ce n’était pas un jour pour assassiner

Histoire d’un soldat qui dit non.

par Jean-Paul Mari
«A 29 ans, dit Tal, je suis fort parce que j’ai vécu "ça": le Liban, les territoires. Je sais. Je peux parler.» Il n’a jamais oublié le suicide de son ami Daniel, et il fait partie des 500 refuzniks qui, si l’on veut les envoyer servir dans les territoires occupés, ont décidé de dire non. Avec ce témoignage, Jean-Paul Mari ouvre une série de cinq portraits d’hommes et de femmes dont l’histoire, dans ce Proche-Orient déchiré, a bouleversé la vie