Jean-Paul Mari présente :
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Grands-Reporters.com est un site crée par des reporters professionnels, à la disposition de tous ceux qui veulent découvrir un continent, un pays, une région ou en savoir plus sur l’histoire immédiate. Articles, photos, dessins, vidéos, livres… C’est une banque d’information ouverte alimentée par des reporters que nous connaissons tous et que nous remercions.

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« Migrants : les vérités désagréables » par Laurent Joffrin

par Jean-Paul Mari
Jean-Paul Mari nous fait vivre l’Odyssée des migrants venus d’Afghanistan, d’Irak ou d’Afrique en évitant tous les pièges du «politiquement correct».

« Visages de l’Arabie interdite »

par Philippe Rochot
Arabie 70 : mes années Fayçal La rigueur wahabite interdit la reproduction par l’image. Faire de la photo en Arabie saoudite représente donc un véritable défi, surtout dans les années 1970 où le roi Fayçal engage un bras de fer avec les intégristes pour imposer la télévision dans le royaume. J’ai vécu cette période-là durant deux années passées à Djeddah, partagé entre ma passion de l’image et la crainte permanente d’être arrêté par la police religieuse. J’ai voulu éterniser par l’image la vie des derniers bédouins et des peuples du désert, jusqu’à ce jour de mars 1975, celui de l’assassinat du roi Fayçal où je réussis à pénétrer dans le palais royal lors de la cérémonie de condoléances en présence du prince Fahd, futur successeur.

Collection « Photos de Reporters »

par grands-reporters
L’Esprit Une collection de photographies réalisées par les plus grands photoreporters lors de leurs missions à travers les événements qui font l’actualité. Si la photo d’actualité est appréciée par le grand public, rares sont ceux qui osent en acquérir. Parce...

L’EDITO:  » Habtom et ses bourreaux », par Léonard Vincent.

par Léonard Vincent
Notre époque aime les tueries. Hier, dans la gare routière de Beersheba, dans le sud d'Israël, un jeune homme a d'abord abattu un garçon en uniforme avant de se mettre à tirer au hasard dans la foule. Le tueur a été tué. Onze passants ont été blessés, dont trois très sérieusement. Et un quidam a été lynché. La presse est peu diserte à son sujet. « Un demandeur d'asile érythréen, venu à Beersheba pour chercher un visa (...,) a été abattu par un agent de sécurité qui l'avait pris à tort pour un terroriste », dit laconiquement Haaretz. L’Érythréen fuyait le massacre, il s’est écroulé, transpercé par plusieurs balles. Sur la vidéo d’un téléphone portable, on le voit maintenu au sol par une chaise, puis plusieurs fois frappé à coup de pied à la tête. Un homme projette même la masse d’un banc sur le crâne déjà difforme du jeune Africain. Certains profiteront de cet assassinat pour faire valoir leurs opinions politiques. Je voudrais simplement nous inciter à avoir une pensée pour Habtom Zarhum, car apparemment tel était son nom. Il avait 29 ans et travaillait dans un champ du Néguev. On ignore s'il avait connu les villas de torture dans le Sinaï, de l'autre côté des barbelés israéliens. On ignore aussi quand et comment il avait quitté l'Érythrée. On pourrait aller interroger ses amis, les filles qu'il trouvait jolies, se rendre aux endroits qu’il aimait. On écouterait sa chanson fétiche, on goûterait son sandwich favori. On parlerait de ses espoirs. On pourrait rendre justice à Habtom. Emprisonner ses bourreaux. Mais, surtout, lui redonner son nom. Pour qu'il soit autre chose que ce bout de chair méconnaissable et flouté, allongé dans une flaque de sang, à la merci de ceux qui utilisent sa mort pour gagner leur guerre. L.V

Crise migratoire: que faire?

par Jean-Paul Mari
crisemigratoire1417-2.mp4 LCI :Cliquez sur l'icone pour Voir le débat sur la crise migratoire au sujet du livre "Les Bateaux Ivres"" crisemigratoire1417-2.mp4 [gallery link="file" ids="8860,8861"]

Mur Hongrois contre les migrants

par grands-reporters
  Voir le clip vidéo diffusé par l'armée hongroise

FIGRA 2016: Prix, concours, dossiers d’inscription.

par Jean-Paul Mari
Dossier d'inscription [gallery link="file" ids="8853"]

L’ÉDITO. « Bayeux : Pour en finir avec l’obscurantisme », par Jean-Paul Mari.

par Jean-Paul Mari
L’obscurantisme est une religion en soi et toutes les religions ont leurs dogmes. La Force Obscure, celle qui sait exactement ce que pensent les Français – quoi, quand, comment, tout on vous dit ! – a promulgué trois dogmes principaux. Une sorte de prière entêtante ânonnée par les fidèles dans les cafés du commerce médiatique, les rédactions et ceux qui les dirigent à l’économie et dont le métier est de refuser les reportages sur « la misère du monde ». - Dogme N°1 : « Les Français ne s’intéressent plus à l’actualité étrangère ». Soirée au prix Bayeux des Correspondants de Guerre. Un chapiteau de 1300 places –un dixième de la population locale- bondé. Soirée passionnante sur la Syrie, sujet dur et complexe, cinq intervenants, deux heures et demie de débats, la salle qui retient son souffle et pose des questions précises et intelligentes. La passion de l’info. - Dogme N°2 : « Les Français ne lisent plus. » Salon du Livre. Une trentaine d’auteurs, les livres s’arrachent, le public se presse, parle avec les reporters-écrivains. Epuisé en quelques heures un livre sur la Syrie et un autre sur les Migrants, sujet « qui n’intéresse personne », répétait la Force. - Dogme N°3 : « Les jeunes ne lisent pas et ne s’intéressent pas à l’actualité étrangère. » Salauds de jeunes ! Une série de rencontres avec des classes de lycéens avides de savoir, des débats trop courts d’une heure et demie, un Prix du Lycéen, le Salon du Livre envahi par les adolescents qui interpellent les reporters de guerre, prennent des notes, twittent, facebookent et chattent sur les bouquins... Prix de Bayeux, Rencontres Albert Londres à Vichy, Visa pour l’Image à Perpignan, autant de cathédrales lumineuses contre les dogmes obscurs. Surtout ne les écoutez plus. JPM

A Raqqa, «l’ambiance s’est tendue, la paranoïa grandit»

par Luc Mathieu
La capitale syrienne du «califat» est de plus en plus isolée : l'accès à la Turquie est verrouillé et les jihadistes déserteurs sont traqués par l'organisation.

L’ÉDITO: » MSF bombardé…Paris se tait. », par Luc Mathieu.

par Luc Mathieu
Médecins sans frontières, fondée par des Français en 1971, a reçu le prix Nobel de la paix en 1999. Samedi, son hôpital de Kunduz, une ville du nord de l’Afghanistan, a été bombardé par l’armée américaine. Douze employés et sept patients ont été tués. L’ONU évoque un possible crime de guerre. L’armée américaine livre des récits contradictoires, alternant entre «dommage collatéral» et ciblage «par erreur». Les autorités françaises, elles, restent silencieuses. Ni François Hollande, ni Manuel Valls, ni la classe politique n’ont réagi. Ils n’ont rien condamné, rien demandé. Seul le Quai d’Orsay a publié un communiqué de cinq lignes pour souhaiter que «toute la lumière soit faite sur ce drame». Ce silence est aussi lâche que dangereux. MSF ne travaillait pas en secret à Kunduz, son hôpital aujourd’hui ravagé était connu, de l’armée américaine. Au regard de la Convention de Genève, ses équipes et ses patients, civils ou non, devaient être protégés. Que la France ne le rappelle pas affaiblit encore un peu plus le droit humanitaire international. Face à l’un des pires drames qui l’ait frappée en plus de quarante ans, MSF demande une enquête internationale indépendante. Cela relève du bon sens. Le moins que l’on aurait pu attendre des autorités françaises, mais aussi européennes, eût été qu’elles appuient cette requête. Leur silence masque mal leur embarras. Paris veut-il éviter de froisser son allié américain et oublier l’Afghanistan? Peut-être. Mais la guerre n’est pas finie. En six ans, elle a fait près de 5 000 victimes civiles. A Kunduz, MSF a évacué son hôpital. C’était le seul de la région capable de soigner des grands blessés. L.M

Stop-Djihad

par grands-reporters
VOIR LA VIDEO - Libération (7 octobre 2015) Le ministère de l'Intérieur et le Secrétariat d'Etat à la Famille présentent de nouveaux clips pour déconstruire la propagande jihadiste. Les chaînes de télévision les diffuseront à partir du 7 octobre. Le...

ONU: la «bombe » de Mahmoud Abbas explosera-t-elle?

par René Backmann
Le président palestinien avait annoncé qu’il ferait exploser une « bombe » en s’adressant mercredi à l’Assemblée générale des Nations unies. La « bombe » semble avoir été désamorcée, et deux versions du discours – l’une combative, l’autre plus conciliante – sont prêtes. Le choix final dépendra d’Israël et de l’engagement américain. (Article Médiapart)

Idlib, tenue par les rebelles en équilibre instable

par Luc Mathieu
Depuis qu’une coalition de groupes islamistes a chassé l’armée syrienne de cette ville du nord-ouest, la population vit dans un calme relatif.

2-3-4 Octobre à Vichy : « Rencontres Albert Londres ».

par Jean-Paul Mari
PROGRAMME DES RENCONTRES PROGRAMME 2015 Vendredi 2 octobre 20h30 À l’Etoile Cinéma le Club ciné présente AFERIM Aferim est un film roumain écrit et réalisé par Radu Jude et sorti en 2015. Le film est sélectionné, en compétition, au 65e...

Syrie : le drôle de jeu de Moscou

par René Backmann
Principale alliée, avec Téhéran, du régime de Bachar al-Assad, la Russie, qui renforce sa présence militaire sur le terrain, est-elle prête à accepter l’effacement du dictateur pour faciliter la création, avec les occidentaux d’une vaste coalition contre l’Etat islamique ?

FIGRA 2016: Envoyez vos films.

par Jean-Paul Mari
23ème édition du 30 mars au 30 avril prochain. Bonjour à tous, Pour sa 23ème édition, le FIGRA, Festival International du Grand Reportage d'Actualité et du documentaire de société, lance son appel à films !  L'inscription des films est ouverte...

Syrie: «Nous sommes seuls face aux jihadistes »

par Luc Mathieu
Dans le nord du pays, où la coalition menée par les États-Unis envisage de mettre en place une zone de sécurité, les combattants rebelles se sentent abandonnés face à l’État islamique qui ne cesse d’avancer.

Nouveau: Collection Photos de Reporters

par Jean-Paul Mari
CLIQUEZ SUR LE LIEN Pre_sentation_PHOTOS_DE_REPORTERS.pdf

Silence, on viole.

par Jean-Paul Mari
La RDC offense une nouvelle fois les femmes victimes de viol

Photojournalisme: une profession sacrifiée

par Jean-Paul Mari
Lire le rapport complet[gallery link="file" ids="8808"]

Carnet Africain

par Edoardo di Muro
L’authentique carnet de voyage d’un grand dessinateur Carnet Africain Edoardo di Muro

« Les clés retrouvées. »

par grands-reporters
Lorsque la mère de Benjamin Stora est décédée en 2000, il a découvert, au fond du tiroir de sa table de nuit, les clés de leur appartement de Constantine, quitté en 1962. Ces clés retrouvées ouvrent aussi les portes de la mémoire. La guerre est un bruit de fond qui s’amplifie soudain. Quand, en août 1955, des soldats installent une mitrailleuse dans la chambre du petit Stora pour tirer sur des Algériens qui s’enfuient en contrebas, il a quatre ans et demi et ne comprend pas. Quelques années plus tard, quand ses parents parlent à voix basse, il entend les craintes et l’idée du départ. Mais ses souvenirs sont aussi joyeux, visuels, colorés, sensuels. Il raconte la douceur du hammam au milieu des femmes, les départs à la plage en été, le cinéma du quartier où passaient les westerns américains, la saveur des plats et le bonheur des fêtes. Ces scènes, ces images révèlent les relations entre les différentes communautés, à la fois proches et séparées. Entre l’arabe quotidien de la mère et le français du père, la blonde institutrice de l’école publique et les rabbins de l’école talmudique, la clameur des rues juives et l’attirante modernité du quartier européen, une histoire se lit dans l’épaisseur du vécu. Benjamin Stora a écrit là son livre le plus intime. À travers le regard d’un enfant devenu historien, il restitue avec émotion un monde perdu, celui des juifs d’Algérie, fous de la République et épris d’Orient.

« LES BATEAUX IVRES » . L’Odyssée des migrants en Méditerranée.

par Jean-Paul Mari
Trente-cinq ans que je cours le monde et ses tourments. La première fois, en dehors d’une guerre, que j’ai vu l’exode d’une population, c’était en Asie où les boat-people fuyaient le régime communiste d’Hanoï. Des jonques en bambou sur la Mer de Chine, la dérive et les naufrages, tous les éléments étaient déjà là. Mais ces migrants étaient des réfugiés politiques et le monde les regardait d’un œil bienveillant et attentif. J’étais revenu avec une image, plus forte que les autres, celle d’un bébé de six mois que ses parents avaient confié, seul, aux autres exilés en route vers les côtes malaises. Avec le temps, l’exode des migrants n’est plus devenu un phénomène exceptionnel. Et le monde s’est lassé. J’ai suivi les barques, les pateras qui affrontaient le détroit de Gibraltar, les pirogues de la mort pour les Canaries, les zodiacs de Turquie vers l’île grecque de Lesbos, le flot des épaves vers le Canal de Sicile. Jusqu’à Lampedusa, caillou submergé par le flux. Partout les « migrants », comme on dit, comme si le « migrant » était un modèle unique, uniforme, comme si ceux qui fuient le chaos de la guerre ou la sècheresse avaient la même histoire. J’ai suivi le sillage de ces bateaux ivres, sur mer et sur terre, dès leur point de départ, un village subsaharien, un désert érythréen de la corne de l’Afrique, une capitale arabe, une montagne d’Afghanistan ou de Syrie. Je voulais faire le récit choral de ces centaines de milliers d’hommes et de femmes qui ne voient qu’une seule issue, partir, pour la grande traversée, à travers notre mer, la méditerranée. Nous, européens, nous hésitons toujours, entre aveuglement volontaire, compassion et répression. Sans parvenir à définir une attitude réaliste, une politique commune. Pendant ce temps-là, ils partent. Avec la force des désespérés ou des conquérants. Et rien ne les arrêtera LIRE LE PREMIER CHAPITRE.

Israël : la culture de l’impunité

par René Backmann
Un enfant palestiniens d’un an et demi est mort carbonisé, son frère et ses parents ont été très gravement brûlés dans l’incendie de leur maison revendiqué par des colons en Cisjordanie. Les meurtriers seront arrêtés et traduits en justice affirme Netanyahou. Difficile à croire : un rapport récent démontre qu’un Palestiniens qui dépose plainte contre un agresseur israélien n’a que 1,9% de chances d’obtenir justice…

Voyage dans la Casbah

par Zinedine Zebar
‘La Casbah d’Alger a été inscrite sur la liste du patrimoine mondial à la 16eme session du Comité, en décembre 1992.

l’accord de Vienne : que peut–il changer dans la région?

par René Backmann
L’accord conclu à Vienne le 14 juillet entre les Etats-Unis, la Russie, la Chine, la France, le Royaume Uni, l’Allemagne et l’Iran interdit à Téhéran de produire une bombe atomique et place le programme nucléaire iranien sous strict contrôle international, en échange de la levée des sanctions internationales en vigueur depuis 2006. Ce qui pourrait bouleverser l’équilibre géopolitique régional.

Afghanistan : Les ombres d’un retrait.

par René Backmann
Le départ des troupes américaines et de l’Otan, à l’exception d’un contingent de « conseillers », place les nouveaux dirigeants afghans dans une situation critique : ils doivent désormais affronter seuls, avec une armée mal préparée et dans un climat politique incertain, l’offensive des talibans, résolus à reprendre le pouvoir à Kaboul. Trois ans après un retrait précipité d’Irak, générateur de chaos et plus de quarante ans après l’échec de la « vietnamisation », ce choix stratégique contesté semble confirmer que Washington a du mal à tirer les leçons de ses erreurs stratégiques…

Dossier Migrants

par Jean-Paul Mari
USA , MEXIQUE Carnets du Rio Grande 18 mai 2014  Certains corps étaient enlacés. Cauchemar sous-marin 366 migrants au fond de l’eau Itinéraire d'une famille afghane de Kaboul a Lesbos Lesbos, ils ont échappé à l’enfer. "Une chose terrible...

Ilakaka: la vallée maudite du saphir

par Maria Malagardis
ll y a dix-sept ans, un paysan malgache sortait d’un ruisseau un petit caillou bleu qui allait changer le destin d’une région. Depuis, la fièvre du saphir n’a cessé d’y attirer des hordes de miséreux. La vallée d’lakaka, c’est l’histoire d’un rêve, celui de milliers de miséreux attirés par les sirènes du saphir. Ici, au cœur de Madagascar, hommes, femmes et enfants arrachent à la terre les pierres qui entretiennent l’illusion d’une vie meilleure.

Pendant les massacres, la vente continue

par René Backmann
Alors que les dépenses militaires diminuent ou se stabilisent aux Etats-Unis et en Europe occidentale, elles augmentent en Asie, en Afrique et au Moyen-Orient. Aubaine pour les Etats fournisseurs d’armements. Dont la France, désormais en cinquième position au classement des marchands de canons.

Les chrétiens du Kurdistan en première ligne.

par Luc Mathieu
Longtemps à l’écart du conflit syrien, Assyriens et Chaldéens se retrouvent aujourd’hui acculés par les jihadistes de l’État islamique en Syrie. Ignorés par le régime, quelque 1000 combattants tentent de conserver leur fief historique, autour d’Hassaké.

Capitales d’Afrique

par Edoardo di Muro
"EDOARDO L'AFRICAIN" Abidjan, Conakry, Dakar, Lomé, Cotonou, Lagos, Yaoundé, Libreville, Addis-Abeba, Djibouti... Scènes de rues, de marchés, épisodes de la vie domestique... la plume d'Edoardo di Muro n'a manqué aucun détail pour décrire la vie des capitales d'Afrique. Ces véritables œuvres d'art à valeur documentaire retracent l'itinéraire africain d'un artiste hors du commun. Edoardo Dimuro est né en 1944 à Cuneo dans le Nord de l’Italie au pied des Alpes. Son premier métier de garde-forestier lui développe son goût pour la nature qu’il confirmera quand il sera plus tard ranger dans le parc de la Comoé en Cote d’Ivoire. Engagé dans la marine il débarque en 1973 au Nigéria et pendant plus d’un quart de siècle il ne quittera plus le continent africain qu’il parcourt du Nord au Sud et d’Est en Ouest. Il traverse des pays blessés par la guerre, affaiblis par l’exode rural massif et gangrénés par une urbanisation anarchique au milieu de laquelle survit une population experte en débrouille.

Syrie-Irak : l’Etat islamique peut-il être vaincu ?

par René Backmann
Fort de ses moyens militaires et financiers impressionnants et d’une implantation territoriale en progression, le califat d’Abou Bakr al-Baghdadi exploite les hésitations et les contradictions de la coalition internationale anti-terroriste pour imposer son « ordre islamique » barbare et affirmer sa puissance militaire. Au point de menacer Damas ?

Sept grands photoreporters s’engagent

par Jean-Paul Mari
Pour sauver des enfants cardiaques. Sept grands noms du photojournalisme international offrent chacun une de leurs emblématiques photos sur le thème de l’enfance ou de l’Afrique. Photographes de renom aux talents mondialement reconnus, Pierre Anthony Allard, Alexandra Boulat, Jean-Loup Gautreau,...

Wadha et Ibrahim Abdhalla: affreux, sales et marrants

par Luc Mathieu
Avec ses nombreux enfants, ce couple irakien, débrouillard et joyeux, a fui l’Etat islamique en triporteur afin de se réfugier au Kurdistan syrien.

Dans Constantine, capitale arabe.

par Zinedine Zebar
Constantine, qui sera pour toute l’année "capitale de la culture arabe", fut pendant des siècles une capitale d’influence qui façonna des figures politiques et culturelles du pays. Mais Alger n’aime pas qu’on lui fasse de l’ombre.

Prix Bayeux des Correspondants de Guerre 2015: le palmarès complet.

par Jean-Paul Mari
Quelques nouvelles de Bayeux.... - 1500 personnes à la soirée finale de remise des prix - Gros succès du Salon du Livre - une trentaine de participants, la foule des grands jours, beaucoup de jeunes, ( "Les bateaux ivres", odyssée des migrants en Méditerranée, épuisé en moins d'une journée. Ainsi que "Opération César") - Projections du film d'Henderlin "Le mont du temple" et de "Sinaï: voyage en barbarie ( Cécile Allegra et Delphine Deloget) - Belle soirée débat sur la Syrie.

« Voyage en Barbarie »

par grands-reporters
VOIR LE DOCUMENTAIRE EN ENTIER Le prix ALBERT LONDRES 2015 a été attribué au au film VOYAGE EN BARBARIE réalisé par Delphine Deloget et Cécile Allegra et diffusé sur Public Sénat. Il avait déjà reçu le prix RSF au FIGRA...

Mystérieuse Moyenne-Égypte

par Erik Bataille
Les traces de pas, à peine visibles dans le sable, pointent vers le grand mastaba brun ocre, le contournent avant de disparaître dans un trou. «Trop tard!» râle Luc Watrin, un des très rares égyptologues à connaître la région. Une dernière respiration et nous basculons dans le boyau percé par les pilleurs.

Les reporters du cœur.

par Jean-Paul Mari
CITADINES EXPOSE LES ŒUVRES DE 7 GRANDS PHOTOREPORTERS QUI S’ENGAGENT POUR SAUVER DES ENFANTS SOUFFRANT DE MALFORMATIONS CARDIAQUES.

Palmarès du Prix Albert Londres 2015

par Jean-Paul Mari
Réuni à Bruxelles, le jury du Prix Albert Londres a décerné le prix de l'écrit à Luc Mathieu, grand-reporter au journal Libération pour ses reportages sur la frontière turco-syrienne et au Kurdistan. Luc Mathieu Le jury s'est prononcé au quatrième...

Prix Albert Londres: les finalistes ( 2015).

par Jean-Paul Mari
Tout est en place pour l'édition 2015 du Prix Albert Londres qui récompensera deux lauréats cette année, un pour la presse écrite, l'autre pour la télévision. Le jury se déplacera à Bruxelles pour se réunir et donner son verdict en fin de semaine. Le nombre de présélectionnés, notamment en écrit, démontre la qualité des reportages présentés.

Trauma: la vie après

par Jean-Paul Mari
Parmi les militaires américains engagés au Vietnam, il y a eu 2 fois plus de morts après la guerre qu’au combat. Pourquoi ? Qu’est-ce qui se passe ? Qu’appelle t-on le trouble de stress post-traumatique ? De quoi s’agit-il et comment s’en sort-on ? Jean-Paul Mari nous parle de ce sujet qui reste encore assez tabou à travers son expérience personnelle et professionnelle de Grand Reporter sur la plupart des terrains de conflits de ces dernières années.

Derrière le chaos libyen

par René Backmann
Quatre ans après le déclenchement de l’intervention militaire française, puis internationale, en Libye, le chaos et la guerre civile ont succédé à la dictature de Kadhafi. Désastre exploité par les fanatiques de l’État islamique pour ajouter une province à leur émirat. Et par les trafiquants de migrants pour multiplier les points d’embarquement vers l’Europe…

«Les talibans me tueront un jour, j’en suis persuadé»

par Luc Mathieu
En quittant l’Afghanistan l’an dernier, la France a laissé derrière elle les habitants qui l’avaient soutenue. Ils se retrouvent aujourd’hui pris pour cibles par des extrémistes qui ont de nouveau le champ libre.

KUMBH MELA. Sur les rives du fleuve sacré

par Alain Buu
Tous les douze ans a lieu la Purna Kumbh Mela, ou grande Kumbh Mela, à Prayag. Plusieurs millions de personnes y prennent part ce qui en fait probablement le plus grand pèlerinage du monde.

Document : la bombe à retardement de Jérusalem

par René Backmann
Selon un rapport rédigé par les diplomates de l’Union européenne à Jérusalem, la tension dans la ville n’a jamais été aussi menaçante depuis 1967. Si la politique de discrimination et de colonisation menée impunément par Israël se poursuit, ce sont les bases mêmes d’une solution pacifique au conflit israélo-palestinien qui seront détruites. Il est peut- être encore temps d’agir, mais l’Europe doit faire preuve de courage. Ce qui est beaucoup lui demander.
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